Je lis « La puissance de la joie » de Frédéric Lenoir de
la collection Fayard.
Monsieur Lenoir site plusieurs philosophes de la joie. J’aime ça donc je vous site des passages qui
me font méditer et réfléchir et je trouve cela très inspirants.
L’effet de la sagesse, c’est une joie continue. 1 Sénéque
La sagesse, disent les stoïciens, consiste à accepter ce sur
quoi on ne peut pas agir.
Quand on ne peut faire autrement, mieux vaut accepter les
choses telles qu’elles sont, consentir à la vie.
Friedrich Nietzsche :
page 45 Il aboutit ainsi aux
mêmes conclusions que Spinoza : la joie est la puissance de vie sur
laquelle il faut s’appuyer. La
tristesse, qui diminue la vie, est néfaste.
Spinoza affirmait qu’une fois libéré de toutes les
servitudes on est dans la joie parfaite, celle de l’homme libre, qui est une
joie permanente. Nietzsche le dit d’une
autre manière : on aboutit, selon lui, à la LUST, la « joie
parfaite », lorsqu’on est dans le consentement total à la vie. Dans un état d’esprit où l’on accepte la vie
sans rien en refuser, où l’on est capable, insiste-t-il, de dire un
« oui » inconditionnel à la vie, y compris sa part négative et
douloureuse.
Cette idée que la joie doive assumer la totalité de
l’existence, y compris la souffrance, est probablement l’apport le plus
original de Nietzsche et ce qui le distingue le plus de Spinoza.
Je n’ai pas fini de lire le livre et c’est seulement un
début. La joie dont parle Frédéric
Lenoir me fait faire une connexion avec la paix intérieure du cœur
dont je tiens à garder et que je travail très fort pour garder la paix. à bientôt, pour d'autres réflexions...
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