dimanche 17 octobre 2010

Porte-Ouverte "Je connais mon RÉZO"

Mardi passé le 12 octobre, il y a eu une Journée Portes-Ouvertes : « Passe le mot … Connais ton RÉZO ». Différentes ressources offertes aux familles dans la communauté qui a eu lieu au Centre Père Arthur Guertin :

Le CAVAC, le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels formé pour vous épauler pour intervenir, pour assister, pour soutenir, pour aider, pour conseiller, pour guider etc.   Dans le secteur Outaouais 819-778-3555. Visitez le site web: http://www.cavac.qc.ca/

L’Association des familles monoparentales et recomposées de l’Outaouais est là pour vous accompagner, vous soutenir.  Le numéro de téléphone : 819-771-3269 poste 25 et l’adresse courriel : scafmro@videotron.ca 

Centre d’action bénévole :  la popote, l’accompagnement transport, cliniques d’impôt etc…
No de téléphone : 819-778-2900.  Vous pouvez devenir bénévole pour soutenir et aider. 

Association des femmes immigrantes de l’Outaouais (A.F.I.O.) a comme but d’offrir différents services : des services d’information, de référence, d’accompagnement et de soutien psychosocial, favoriser le rapprochement interculturel etc…  L’Association a aussi un programme de jumelage.  C’est un programme d’environ 1 an qui jumelle sur une base amicale une femme québécoise et une femme nouvellement arrivée au Québec.  Pour plus d’information téléphonez au 819-776-6764. Adresse courriel : afio@bellnet.ca  ou voir le site : http://www.afio.ca/

Carrefour jeunesse emploi de l’Outaouais (C.J.E.O.)  est un endroit chaleureux, un lieu d’appartenance où l’approche de groupe ou individuelle permet aux jeunes adultes de faire avance leurs projets et réaliser leurs objectifs.  Tu es une jeune maman, tu penses retourner à l’école ou sur le marché du travail, tu as besoin d’un coup de pouce, tu es invitée à assister du 18 octobre au 29 octobre 2010 de 13h00 à 16h00 communique avec Roxanne 819-561-7712 poste 241 c’est gratuit et une Halte-Garderie sera sur place.  
Visitez le site web : http://www.cjeo.qc.ca/

mardi 5 octobre 2010

Plaisanteries et énigmes…

Plaisanteries et énigmes

À quel endroit jeudi arrive-t-il avant mercredi ? Dictionnaire
Qu’est-ce qui monte toujours et ne redescend jamais ? l’âge
Quel est le pain préféré des magiciens ? La baguette
Quel est l’animal le plus heureux ? Le hibou chouette
Que donne une vache quand elle est nerveuse ? Lait frappé
 
Jokes and Riddles

What did the chocolate bar say to the lollipop ? Hello sucker
What do you give a hurt lemon ? Lemon ade
What kind of kitten works for the Red Cross ?
First Aid Kit
Why are potatoes good detectives ?
Because they keep their eyes peeled
What do you get from nervous cows ? Milkshakes

La Petite Thérèse et Mère Teresa… lien viscéral

« J’ai soif » de la petite Thérèse à Mère Teresa - par Jacques Gauthier
 
Édition : Parole et Silence  

« Tant que vous n’écouterez pas Jésus dans le silence de votre cœur, vous ne pourrez pas l’entendre dire « J’ai soif » dans le cœur des pauvres… Vous lui manquez quand vous ne vous approchez pas de lui. Il a soif de vous ». Mère Teresa, Testament spirituel.

Quel lien viscéral peut unir Thérèse de Lisieux et Mère Teresa ?
 
La soif de Jésus.
 
Non, pas leur soif de Jésus, mais celle de Jésus pour nous, pour elles.
 
Ce qui rassemble profondément les deux Thérèse semble être cet inaltérable désir de désaltérer le Christ, le consoler de l’indifférence de tant de gens, étancher sa soif d’amour, l’aimer dans les autres en se laissant aimer par lui, s’ouvrir aux flots de tendresse qui sont refoulés dans son cœur parce que cet amour n’est pas accueilli comme il le devrait.
 
Ces deux témoins choisis par Dieu pour nous révéler son amour assoiffé empruntent une « petite voie » de confiance et d’abandon, accessible à tous.

Accueillir la vie à travers nos sens

Accueillir la vie à travers nos cinq sens.
L’équipe de Gatineau à Val Morin
les 4-5-6 juin derniers ont pu s’émerveiller
et vivre ensemble les attitudes de vie.
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Dieu créa LA NATURE et l’être humain à son image… et il vit que cela était TRÈS BON.
Lors de notre rencontre des Volontaires le 10 octobre au Cap-de-la-Madeleine, Lucie Dorais, nous faisait vivre une expérience d’accueillir la vie en nous invitant à prendre conscience de notre rôle auprès de tous les êtres vivant sur la terre et ce, à travers nos cinq sens. Elle nous a parlé du livre d’Anselm Grün, moine Bénédictin, « Ouvrir nos sens à Dieu ».
 
Donc, ce livre nous a servi pour compléter notre réflexion au cours de l’année. Au début de juin, notre équipe « Semeurs d’Espérance de Gatineau» a fait l’exercice d’affiner, d’éveiller leurs sens pour « ressentir Dieu » dans leur quotidien.
 
Cette expérience a eu lieu dans un chalet avec une nature printanière à couper le souffle. Quelle belle expérience ce fut de rencontrer Dieu et de vivre ensemble pendant deux jours une belle fraternité de vie d’équipe.
 
Regarder, contempler les montagnes, le lac Raymond parfois calme, parfois frissonnant, écouter le ruisseau qui coule, les oiseaux et les grenouilles, sentir le vent, toucher les fleurs en longeant le sentier pédestre des Laurentides. Pour goûter, il n’y avait pas mieux que les succulents repas préparés par le chef cuisinier Philippe.
 
Nous avons beaucoup partagé. Qu’est-ce que les attitudes ont changé dans notre vie. Nous nous sommes rendu compte que notre quotidien et notre prière avaient grandi par la présence aimante de Dieu et par le nouveau regard d’amour sur les personnes. Vu que nous étions ensemble deux jours, nous en avons profité pour s’émerveiller l’une de l’autre, rendre service et bâtir la paix.
 
Nous avons aussi beaucoup partagé sur Accueillir la vie et nos cinq sens. Et nous avons pu regarder, écouter, goûter, sentir et toucher en y mettant tout notre cœur.
 
Notre équipe s’est transformée encore une fois en percevant quelque chose de la douceur de Dieu car elle en a eu la perception, la révélation d’un Dieu Amour.
 
Tout en espérant que cette expérience de paradis que l’on a vécue témoigne de l’amour du Père pour chacune de nous et pour tous les autres rencontrés sur notre chemin. Et ainsi, qu’en nous voyant vivre étonner les gens puissent dire « Voyez comme ils s’aiment, voyez leur bonheur ».
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L’équipe de Gatineau « Les semeurs d’espérance ».
Lorraine Gauthier, responsable de l’équipe de Cornwall et
Marie Francoeur, Oblate à Ottawa

Retraite avec Rita Gagné, ursuline

Quatre personnes de Notre-Dame de l’Île ont assisté à la retraite de S. Rita Gagné, ursuline le 23 et 24 février 2010.
 
Le thème : Le Seigneur en désigna encore soixante-douze autres et les envoya deux par deux en avant de lui dans toutes les villes et localités où lui-même devait se rendre.
 
En puisant largement dans l’Évangile de Luc, Rita Gagné a su parcourir avec nous les Chemins qui peuvent faire de nous des disciples, donc appelés à marcher avec d’autres et avec le Christ. C’est prendre appui sur une communauté de disciples et être des entrepreneurs en relation, deux par deux. Dans tout ce qu’elle a dit : j’ai deux points à réflexion… sur la communication et l’accueil.
 
Avez-vous eu de la difficulté à communiquer avec un ou l’autre? Voici, ce que Rita nous a raconté à ce sujet : l'amour ça vient de Dieu... comme humain on a beau faire des pieds et des mains pour venir à bout de communiquer quand on ne réussit pas, Dieu peut nous aider à faire sortir l'amour de nous.  Un autre point m’a fait réfléchir sur l’accueil que je porte à une personne au nom de Jésus et c’est avec une histoire...
 
« Je rends visite à un sculpteur. J’entre dans son atelier. Je vois un aigle avec toutes ses nervures dans tout ce que comportent les plumes etc… Je me tourne et je vois un ours dans toute sa splendeur. Sur une autre étagère, je vois un bloc de bois. Je demande au sculpteur pourquoi ce bloc est en attente… Le sculpteur me répond : je le regarde, je le scrute et je ne sais pas encore ce qui est dedans. C’est les nervures et le sens du bois qui me dit ce qui est dedans. »
 
Donc, quand j’approche une personne, il est bon d’avoir une écoute avec son cœur et des oreilles pour attendre et des yeux du cœur qui me dit ce que la personne vit au moment présent. Depuis je prie pour que Dieu m’enlève la coquille de mes yeux pour voir mieux l’autre et ouvrir mes oreilles pour mieux entendre ce que l’autre me dit. Je retiens aussi qu’il ne faut pas approcher l’autre en pensant l’amener à vivre comme moi mais plutôt à vivre comme elle le doit, aujourd’hui. Mado

Cinquième perle de sagesse

  DONNEZ  PLUS  QUE  VOUS  NE  RECEVEZ.

« Un individu ne commence à vivre que lorsqu’il s’élève au-dessus des limites étroites de ses préoccupations individuelles pour embrasser celles beaucoup plus vastes de l’humanité tout entière. » 
                                               Martin Luther King
« Pour moi, la vie n’est pas une brève chandelle.  C’est comme une torche splendide que j’ai pour le moment entre les mains et que je veux faire brûler aussi intensément que possible avant de la transmettre aux générations futures. »      Georges Bernard Shaw.

Le plus grand bonheur que l’on puisse trouver dans la vie vient toujours de ce que l’on donne et non de ce que l’on reçoit. 

Demandez à la vie ce qu’elle attend de vous
Viktor Frankl, un psychothérapeute juif, a été emprisonné dans un camp de concentration nazi de 1942 à 1945.   Il a raconté son expérience dans un livre intitulé Découvrir un sens à sa vie avec la logothérapie. L’une des plus importantes sections du livre traite de la question du suicide.  …Cependant, si on arrive à aider un individu à voir que le monde attend quelque chose de lui, à lui faire comprendre qu’il peut faire le bien autour de lui, il choisit presque toujours la vie. 
Viktor Frankl a conclu que les gens qui savent ce que le monde attend d’eux ne mettent jamais fin à leur jours.

Si donner plus que l’on ne reçoit est l’un des secrets du bonheur et du sens de la vie, c’est entre autres parce que nous pouvons exercer beaucoup de contrôle sur ce que nous donnons mais pratiquement aucun sur ce que nous recevons. Chaque jour, nous avons le pouvoir de donner sans limites.  Nous pouvons choisir d’être aimables, de servir, d’aimer, d’être généreux et de laisser un monde en quelque sorte meilleur.  Je suis arrivé à la conclusion qu’il y a quelque chose en nous, les êtres humains, qui désire éperdument apporter une contribution ici-bas.  
Les deux grandes tâches que doivent accomplir les êtres humains : se trouver et se perdre. Nous nous trouvons en découvrant notre destinée et en étant fidèle à soi-même.  Mais il ne suffit pas de se trouver, il faut également se perdre.

Se perdre, c’est comprendre que l’on est relié à quelque chose de plus grand que soi, à quelque chose qui a vécu avant nous et qui vivra après nous.  Différents noms ont été donnés à ce concept dans les traditions spirituelles, mais un trait commun en ressort, et c’est la perte de soi en tant qu’entité signifiante.  Notre existence a un sens parce que nous faisons partie d’un tout.  Pour certains, ce tout est Dieu ; pour d’autres, c’est le voyage de la vie ; et pour d’autres encore, c’est la nature tout entière.  J’ai constaté que ceux qui se sont à la fois trouvés et perdus ont découvert le bonheur.  Il n’y a pas de meilleure façon de se perdre soi-même que de vouer sa vie à donner, à laisser un monde meilleur derrière eux.  Cela établit une connexion avec l’avenir et nous relie au passé. 

Nous sommes tous un maillon de cette grande chaîne de la vie.  Chacun de nous entre dans le monde en croyant qu’il est seul et que sa vie est plus importante que tout autre.  Nous sommes conscients de notre existence individuelle, et puis vient un temps où nous comprenons que nous participons à une grande conversation. 

De nombreuses traditions spirituelles sont axées sur ce paradoxe : on ne peut trouver le bonheur qu’en s’oubliant soi-même.

Les gens les plus heureux sont ceux qui sont le moins égocentriques. Il y a peu de choses plus déprimantes qu’une personne âgée centrée sur elle-même et sur se petits problèmes. 
Les gens les plus heureux ont vécu pleinement, ont su trouver ce qui était important pour eux, et se souciaient surtout, à la fin de leur vie, de ce qu’ils laisseraient derrière eux. 

Cessez de vous apitoyer sur votre sort.
Les gens les plus heureux avaient appris à se soucier du sort du monde, alors que les gens les plus malheureux continuaient à s’apitoyer sur leur propre sort.  Nous pouvons comprendre et retenir cette leçon à un jeune âge ou au milieu de notre vie : le plus grand bonheur vient de ce que l’on donne.

.  Cette semaine, ai-je contribué, même avec un petit geste, à faire de ce monde un meilleur endroit où vivre ?

.  Me suis-je rappelé cette semaine que je fais une différence dans ce monde, même si je n’en ai pas conscience ?

.  De quelle façon est-ce que je souhaite mieux intégrer cette perle de sagesse à ma vie la semaine prochaine ?

La 4e Perle de Sagesse… “Vivez le Moment Présent…”

« Vivez chacun de vos jours comme si c’était le dernier; vous finirez bien par avoir raison. » Leo Buscaglia
« Parfois, votre bonheur est la source de votre sourire, mais parfois votre sourire peut être la source de votre bonheur. »          Thich Nhat Hanh
 
En terme simples, vivre le moment présent signifie se sentir parfaitement bien en tout temps, ne pas porter de jugements sur notre vie, mais la vivre pleinement. Cela signifie ne pas tout ramener au passé ou à l’avenir, mais vivre chaque moment avec gratitude et détermination. Donc, nous avons en tout temps le pouvoir de choisir la satisfaction et le bonheur. (Évaluer ma vie et de l’apprécier davantage.)
 
Vivre le moment présent ne veut pas uniquement dire d’accepter les événements comme ils viennent. C’est beaucoup plus que cela. La première chose que j’ai apprise, c’est que les gens sages voient chaque jour comme un don extraordinaire et de faire en sorte que chaque moment de chaque jour devienne un don merveilleux.
 
Cela signifie se sentir parfaitement bien en tout temps, ne pas porter de jugements sur notre vie, mais la vivre pleinement. Également, ne pas tout ramener au passé ou à l’avenir, mais vivre chaque moment avec gratitude et détermination. Nous avons en tout temps le pouvoir de choisir la satisfaction et le bonheur.
Chaque jour est un don…
 
Vivre le moment présent ne veut pas uniquement dire d’accepter les événements comme ils viennent. La première chose que j’ai apprise, c’est que les gens sages voient chaque jour comme un don extraordinaire. Un sexagénaire, scientifique, a dit chaque matin, au réveil, une prière : « Merci, Dieu, de m’accorder cette autre journée. Estomaqué devant le miracle de la vie; je suis médusé à l’idée d’être une entité consciente, ici dans la Voie lactée, d’être doté d’intelligence et de capacités. Je demande à Dieu de m’aider à prendre conscience, tout au long de celle-ci, de l’extraordinaire don qu’est la vie. À la fin de la journée, avant d’aller au lit, je me rappelle toutes les bonnes choses qui l’ont ponctuée, aussi anodines soient-elles, et je remercie Dieu de me l’avoir accordée. »
 
Si nous n’y prêtons pas attention, nous nous retrouvons en train de perpétuellement passer à travers les choses qui, croyons-nous, nous conduiront au bonheur. Nous nous disons que nous serons heureux si… ou que nous serons heureux quand… Je ne dis pas qu’il ne faut pas planifier ou désirer des choses que nous n’avons pas encore accomplies ou expérimentées. Je dis plutôt que nous trouvons toujours le bonheur lorsque nous sommes capables de vivre dans le moment présent.
 
Un autre a dit, ma chienne a été l’une de mes meilleures enseignantes. Pendant plusieurs années, lors de promenade dans la montagne pendant 40 minutes, j’en suis arrivé à une conclusion intéressante. Ma chienne apprécie ces promenades beaucoup plus que moi!
 
Pour moi, le but n’était que de me rendre au sommet et de redescendre afin de faire de l’exercice et dans l’espoir de vivre plus longtemps. Je ne visais pas à apprécier la randonnée et de considérer ces promenades importantes en elles-mêmes. C’était d’achever ma promenade… Ma chienne, elle quand elle croisait un autre chien, elle s’arrêtait et le saluait. Si elle voyait quelque chose d’intéressant, elle s’arrêtait et l’étudiait à fond, alors que moi, je ne cessais de lui répéter : « Allons, viens ». Après avoir compris cela, je me suis fait un devoir à l’imiter. Dès lors, lorsque que je croisais un voisin, je m’arrêtais souvent pour lui parler; si un magnifique panorama de montagne s’offrait à ma vue ou si j’apercevais une fleur superbe, je m’arrêtais et l’appréciais pleinement et si j’avais la chance de rencontrer un ami, je prenais le temps de m’informer de lui au lieu de me précipiter vers ma destination. C’est devenu une métaphore de mon style de vie.
 
Comme l’a dit Leo Buscaglia : « L’inquiétude ne protège jamais des chagrins de demain, mais éclipse toujours la joie du moment présent. »
 
J’ai appris à méditer, un exercice visant essentiellement à faire le vide et à vivre pleinement le moment présent, mon esprit vagabondait dans toutes les directions : le passé, l’avenir, mes dettes et ma liste de choses à faire. Mais j’ai persévéré et j’ai finalement réussi à libérer mon esprit de toutes ces pensées parasitaires.
 
Faites l’exercice suivant : la prochaine foi que vous vous sentirez accablé par des regrets, dites tout simplement à votre esprit : « Ce qui est fait est fait. C’est le moment présent qui compte. » « Il est impossible de façonner l’avenir; je ne peux qu’être pleinement présent maintenant, je ne peux qui vivre le moment présent. »
 
Enseignez le bonheur à votre esprit.
 
Lorsque Don m’a dit : le bonheur est « dans notre tête », une ampoule s’est mise à clignoter. La perspective de tout simplement choisir la satisfaction et la gratitude, à n’importe quel moment, m’est apparue géniale et capable de changer ma vie. Il me disait en quelque sorte de m’abandonner doucement à la vie. Il ne faisait pas référence à la résignation ni à l’acceptation aveugle devant les circonstances. Il me disait que le pouvoir de trouver le bonheur se trouvait en moi, et non à l’extérieur de moi. Il me disait que, si je m’y attelais, je pourrais trouver la satisfaction en tout temps. On entend des fois, « Debout, la vie est ce qu’on en fait. » On déteste entendre ça, « mais je crois que cela m’a aidé parce que c’était un rappel constant que la vie n’est pas ce qui nous arrive, mais la façon dont nous y réagissons. » Les sages aînés, nous ont dit et redit que la gratitude était la source de l’épanouissement personnel.
 
Voici 4 questions à vous poser chaque semaine et qui vous aiderez à intégrer cette perle de sagesse à votre vie : Ai-je pleinement apprécié tout ce que j’ai fait aujourd’hui? Ai-je été là? Ai-je profité de tous les plaisirs qui m’étaient offerts aujourd’hui? De quoi est-ce que je suis reconnaissant aujourd’hui? Est-ce que je me suis surpris à dire : « Je serais heureux si… »? Ai-je choisi la satisfaction et le bonheur, aujourd’hui? Ai-je vécu le moment présent, aujourd’hui?
onné...

3e perle de sagesse: Devenez amour…

La troisième perle de sagesse: Devenez amour.
« Si vous voulez que les autres soient heureux, faites preuve de compassion.
 
Si vous voulez être heureux, faites preuve de compassion. » Le dalaï-lama
 
David, qui est maintenant septuagénaire, m’a parlé de ce qu’il a vécu alors que son père était mourant. Son père n’a fait aucune mention de ses voitures, de ses maisons, ni de toutes ces voitures, de ses maisons, ni de toutes ces autres choses qu’il avait acquises au cours de sa vie. Il s’est plutôt entouré de photographies lui remémorant des moments précieux : mariages, naissances, voyages en famille et réunions avec des amis.
Conclusion : « A la fin de notre vie, lorsqu’il ne nous reste que peu de temps, l’amour est vraiment la seule chose qui nous tient à cœur. » « Qu’une existence sans amour est une vie vide, sans but ».
 
Bien que nous n’ayons pas la capacité d’être aimés à volonté, nous avons le pouvoir de devenir amour en tout temps. Il y a trois façons d’intégrer cette perle de sagesse à notre vie : en choisissant de nous aimer nous-mêmes; en choisissant de traiter avec amour les gens qui nous sont chers (famille, amis, etc.); en choisissant de devenir amour dans toutes nos interactions.
 
Aimez-vous d’abord
 
Si nous ne choisissons pas fondamentalement de voir notre propre valeur, nous ne pourrons pas trouver le bonheur. L’amour de soi est essentiel à la santé spirituelle de l’être humain. Elsa, 71 ans, dit avoir compris une chose importante. « À un moment donné, je ne me rappelle pas exactement quand, j’ai pris conscience que si je ne pouvais pas me faire aimer, je devais « devenir amour ». …si j’avais peu de contrôle sur l’amour que je pouvais attendre des autres, j’avais le contrôle total sur l’amour que je pouvais leur offrir. …si je devenais une personne aimante, les autres ne pourraient faire autrement que de m’aimer. J’ai également compris que Dieu m’aimait, que ma seule qualité d’être humain faisait de moi une personne de grande valeur, et que c’était là quelque chose que personne ne pouvait m’enlever. …il y a eu une transformation en moi lorsque j’ai décidé de devenir amour au lieu de chercher l’amour. Elsa nous rappelle que, que pour devenir une personne aimante, chacun de nous doit commencer à se donner de l’amour à soi-même. L’un des meilleurs moyens de choisir de s’aimer soi-même est de prêter attention à ce que nous ressentons. On dit que l’on est ce que l’on mange, mais d’un point de vue spirituel, nous sommes ce que nous pensons. Nous nous parlons à nous-mêmes toute la journée. Un grand nombre d’entre elles influent grandement sur notre perception de soi.
 
Ex. : « Je suis un perdant », « Je ne suis pas sympathique », etc… nous commettons des actes qui sapent notre amour de soi. On a le pouvoir de choisir de s’aimer. Chaque jour, il pouvait choisir de chasser les pensées qui l’abattaient. Chaque fois qu’il avait une pensée dévalorisante, il avait le pouvoir de la remplacer par des pensées que nous choisissons et choyons. Nous avons tous le pouvoir d’amorcer ce processus, c-à-d de remplacer nos pensées dévalorisantes par des pensées positives.
 
Faites de l’amour une priorité.
Choisissez de poser un regard bienveillant sur les autres.
Faites le bien si vous le pouvez, mais ne faites jamais de mal à autrui.

2e perle de sagesse: Ne laissez aucun regret derrière vous

La deuxième perle de sagesse:   John Izzo, Ph.D.
 Ne laissez aucun regret derrière vous…
Ce que nous craignons le plus, c’est de ne pas avoir vécu au maximum, d’arriver au crépuscule de notre vie et d’avoir à prononcer ces mots : « J’aurais dû… »
Ne laissez aucun regret derrière vous… 
Pour ne pas laisser aucun regret, nous devons vivre avec courage, tendre  vers ce que nous voulons au lieu de fuir ce que nous craignons.  Pour ne pas laisser aucun regret, nous devons surmonter les inévitables déceptions que nous réserve la vie à cause de la peur du risque d’échoué.
Personne ne dit regretter d’avoir tenté quelque chose et d’avoir échoué.  Au contraire, la majorité des gens disent ne pas avoir pris assez de risques.  Un grand nombre des personne que nous avons interrogées ont dit que ce nous appelons des « erreurs » se révèlent souvent les meilleures occasions d’apprentissage qui soient. 
On ne peut garantir le succès, mais nous pouvons garantir l’échec en choisissant de ne rien tenter.  Choisir de prendre un risque, même petit, peut avoir d’importantes conséquences sur la vie d’un individu. 
Pour connaître une vie exempte de regrets, il faut prendre davantage de risques
Ex. : Donald 84 ans.  L’une des plus grandes sources de bonheur dans sa vie a été son mariage, qui a duré 56 ans.  Sa femme est morte 6 ans avant notre entretien.  Lorsque je lui ai demandé quels avaient été les moments décisifs dans sa vie, il m’a immédiatement parlé d’une soirée dansante qui avait eu lieu au collège où il étudiait, 62 ans auparavant.
« J’étais un jeune homme timide, très timide, surtout lorsque venait le moment de parler aux dames.  Pendant une soirée dansante, lors de ma première année d’études au collège, j’ai vu une magnifique jeune femme traverser la pièce.  … Dès l’instant où j’ai posé les yeux sur elle, j’ai su qu’elle était la femme de ma vie. 
Alors que le jeune Donald parcourait la salle du regard, il a réalisé que cette fille était très populaire, entourée d’autres filles populaires, et il savait que les filles populaires n’adressaient pas la parole aux garçons timides, et dansaient encore moins avec eux.   Il savait qu’il risquait d’être ridiculisé et embarrassé s’il lui demandait de danser avec lui et qu’elle déclinait son offre. 
« La gorge serrée, j’ai marché vers elle et je lui ai dit qu’elle était la femme que j’épouserais.  Cela n’a pas semblé l’impressionner beaucoup, mais elle a tout de même accepté de danser avec moi.  Nous avons dansé une fois, deux fois, trois fois. 
Une si petite décision, prise au début de la vingtaine – la décision de risquer d’échouer en tentant d’obtenir ce qu’il voulait – s’est révélée d’une des décisions les plus importantes qu’ait jamais prises Donald.  Le mariage a modelé sa vie à de nombreux égards, et même six ans après le décès de sa femme, il m’a dit « qu’il ne se passait pas une seule journée sans qu’il sente sa présence à ses côtés. »  Je me suis demandé ce qui serait arrivé si la peur du ridicule l’avait emporté ce jour-là; si Donald avait scellé son échec en n’osant pas agir?  Comme nous ne pouvons pas connaître à l’avance les risques qu’il est important de prendre, nous devons toujours tendre vers ce que nous voulons au lieu de fuir ce que nous craignons.    Chaque fois que nous choisissons de ne pas tendre vers ce que nous voulons, nous plantons les graines de futurs regrets. 
Le secret de l’absence de regrets
Comment prendre davantage de risques pour obtenir ce que nous voulons?
Comment vivre sans regretter les gestes que nous n’avons pas effectués?
Lorsqu’un risque se présente, nous imaginons le pire et c’est cette image que nous gardons sous les yeux. 
Un grand nombre d’entre nous vit toute sa vie, en croyant que l’échec et le rejet sont les pires choses qui puissent nous arriver.  Toutefois, les 200 entrevues que j’ai réalisées m’ont permis d’arriver à une autre conclusion : j’estime maintenant que ce que nous devons craindre le plus est le regret de ne pas avoir essayé. 
Une façon intéressante et toute simple de connaître une vie exempte de regrets : il suffit de continuellement regarder de l’avant et de se demander : « Quand je serai vieux et que j’arriverai au crépuscule de ma vie, est-ce que je regretterai le geste que je m’apprête à faire?  Est-ce que je regretterai le geste que je m’apprête à faire?  Est-ce que la façon dont je vis actuellement me fera m’engager sur la voie du regret ou sur la voie de la satisfation? »
Vivez comme si le temps vous était compté.
Faites semblant que vous mourrez à cette date précise, dans six mois.  Quelles sont les cinq choses que vous devez faire avant cette échéance?  Tant de gens laissent aller les choses, et cela les hante jusqu’à la fin de leur vie. 

Perle de sagesse

Pourquoi certaines personnes trouvent-elles un sens à la vie et meurent-elles heureuses?
La première perle de sagesse...  Demeurez fidèle à vous-même...
            Les trois questions qui comptent vraiment - comment vivre en demeurant fidèle à soi-même...
            Le secret consiste à vivre en étant animé d'une intention, à se poser systématiquement et régulièrement trois questions cruciales:
                 .  Est-ce que j'ècoute mon coeur et est-ce que je suis fidèle à moi-même?
                 .  Ma vie est-elle axée  sur ce qui compte vraiment pour moi?
                 .  Suis-je la persone que je veux être dans ce monde?
                              Lorsqu'on écoute son coeur, cela fait tout un monde de différence.
                                  Bien entendu, écouter son coeur et demeurer fidèle à soi-même  entraîne également des questions d'une plus grande
                                   profondeur.   Est-ce que ma carrière et mon travail dans ce monde sont le reflet de mon moi authentique?
                                                        Ma vie tout entière est-elle ma véritable "voie"?
                                                        Suis-je le genre de personne que je veux vraiment être dans le monde?
                              "Écouter son coeur" désigne plusieurs choses: c'est faire un travail qui répond à nos intérêts les plus chers;
                                                                c'est demeurer fidèle à soi-même dans la vie que l'on choisie (et demeurer honnête vis-à-vis                                           de ce que l'on veut); c'est prendre le temps d'écouter la petite voix intérieure qui nous dit que nous avons raté la cible que       représentent nos désirs les plus intimes.     
La deuxième perle de sagesse...  Ne laissez aucun regret derrière vous...
La troisième perle de sagesse...  Devenez amour...
La quatrième perle de sagesse... Vivez le moment présent...
La cinquième perle de sagesse...  Donnez plus que vous ne recevez     ...à continuer...   Livre :  Ce qu'il faut savoir avant de mourir   de  John Izzo, Ph. D. 

"Tout le monde sait qu'il va mourir, mais personne n'y croit."

"Tout le monde sait qu'il va mourir, mais personne n,y croit."  Je lis un livre 'La dernière leçon' de Mitch Albom, Robert Laffont (aider la vie)
Comment un vieil homme face à la mort m'a appris le goût de vivre. 
Page 98... "Oui, mais il y a une meilleure approche.  Savoir qu'on va mourir et se préparer comme si cela pouvait arriver à tout moment.  C'est mieux.  Cela permet, en fait, d'être infiniment plus vivant tant qu'on vit."  Comment diable peut-on se préparer à mourir?
"En faisant comme les bouddhistes.  Tous les jours, ils font comme s'ils avaient un petit oiseau sur l'épaule qui demande:  Est-ce pour aujourd'hui?  Suis-je prêt?  Est-ce que je fais tout ce qu'il faut pour devenir la personne que je veux être?"
... La plupart d'entre nous vont et viennent comme s'ils étaient somnambules, continue Morrie.  Nous ne percevons pas totalement le monde,parce que nous sommes è moitié endormis.  Nous agissons en automates." 
Voir la mort en face change tout cela?  "Oh oui! On se débarrasse de tout ce fatras, et on se concentre sur l'essentiel.  Quand on réalise qu'on va mourir on voit tout de façon très différente!"
"Apprends à mourir, et tu apprendras à vivre."
"Eh bien, la vérité est que si tu écoutes vraiment cet oiseau que tu as sur l'épaule, si tu acceptes l'idée que tu peux mourir à tout instant, alors tu seras peut-être moins ambitieux."  Morrie s'éfforce à sourire.
"Les choses auxquelles tu consacres tant de temps - tout ce travail - te sembleront moins importantes.  Il faudra que tu fasses de la place pour des choses plus spirituelles."
Tu détestes ce mots , n'est-ce pas?  Tu penses qu'il s'agit encore d'un truc à l'eau de rose!"
Il fait un signe de la tête en direction de la fenêtre où le soleil retre è flots.  Tu vois, cela?  Tu peux sortir quand tu veux.  Tu peux courir autour du du pâté de maisons jusqu'à en perdre le souffle.  Je ne peux pas courir.  Je ne peux pas être dehors sans avoir peur de me trouver mal.  Mais, tu sais quoi?  J'appécie cette fenêtre infiniment plus que toi."  Nous l'appréciez?  'Oui, je regarde à travers elle tous les jours.  Je remarque les changements dans les arbres, la force du vent qui souffle.  C'est comme si je pouvais voir le temps passer littéralement par la vitre.  Je sais que mon temps est presque fini, aussi, je suis attiré vers la naure comme si je la voyais pour la première fois." 
Il s'arrête, et pendant un moment nous nous contentons de regarder tous les deux par la fenêtre.  J'essaie de voir ce qu'il voit.  J'essaie de voir le temps et les saisons, ma vie qui passe au ralenti.  Morrie fléchit légèrement la tête et se retourne vers son épaule et dit est-ce aujourd'hui? Quelle belle leçon... 

Une grande dame, maman, qui vit ses derniers moments sur terre

Maman a appris qu’elle avait un cancer généralisé lors de son attaque de cœur à l’hôpital Civic “Heart Institute”. 
 
Quelle grande dame… petite, mignonne… avec un grand sourire qui nous dit: “Ne soyez pas triste, j’ai eu une belle et bonne vie.”  “J’ai aimé vivre et je suis prête pour le grand départ.”
 
“Je vais m’en aller, il faut qu’on se prépare.  Je vous aime tous les six.  Je suis chanceuse de vous avoir.  Je vous souhaite que votre vie soit belle et douce.  Mon départ vous cause de la peine, mais la vie continue.  C’est dans l’ordre des choses de mourir.  J’espère avoir été une mère aimante et serviable en tout temps.  Je vous ai donné tout ce que j’ai pu pour que vous aimiez la vie autant que je l’ai aimée.  Si je peux continuer à vous aider de là-haut, je le ferai, vous pouvez compter sur moi.”
 
Elle est sereine.  Elle compte ses bénédictions et se dit chanceuse de mourir dans son appartement avec mon aide et l’aide de ma sœur et de mes frères.

Des messagers d’amour

Il y a des enfants qui ne savent ni lire ni écrire.  Leurs parents sont parfois trop malades pour travailler.  Un homme, appelé Pascal, a eu une idée géniale pour leur venir en aide.  Il a mis sur pied des “bibliothèques de rue”!  Des bénévoles remplissent leurs petits autobus de boîtes de livres et d’un ordinateur.  Chaque jour, ils se rendent dans des quartiers très pauvres.  Des enfants les attendent et les reçoivent en bondissant de plaisir.
 
Katia, une petite fille habitant aux États-Unis, savait faire beaucoup de choses, mais elle ratait souvent l’école pour s’occuper de ses frères et sœurs.  Des enfants riaient d’elle parce qu’elle ne savait pas lire.  Un jour, Denis est venu dans son quartier avec sa bibliothèque de rue.  Il lui a raconté l’histoire d’un bébé tigre qui ne savait rien faire, mais qui s’est mis è apprendre de plus en plus de choses.  Katia s’est dit qu’elle pouvait faire comme lui.
 
Denis s’est occupé de Katia.  Il lui a même montré à utiliser l’ordinateur.  Les autres enfants s’impatientaient car elle écrivait très lentement.  Denis l’encourageait.  Petit à petit, les enfants l’ont aidée à trouver les bonnes lettres sur le clavier.  Pour la première fois de sa vie, Katia a réussi à écrire un texte et à l’imprimer.  Elle était heureuse et très fière d’elle!
 
Es-tu d’accord avec moi pour dire que les bénévoles des bibliothèque de rue sont des messagers d’amour?   Et toi, es-tu un messager d’amour avec ceux et celles qui t’entourent? 

La vie...

Dans la vie, il y a des moments où une personne te manque beaucoup, et tu voudrais la faire sortir de tes rêves pour la serrer très fort dans tes bras!
Quand une porte du bonheur se ferme, une autre s' ouvre, mais nous, nous n' accordons pas d' importance à celle que nous venons d' ouvrir.
Ne te fie pas aux apparences: elles sont souvent trompeuses.  Ne t' intéresse pas à la richesse: elle disparaîtra.  Cherche quelqu'un qui te communique le rire car il suffit d' un seul pour que la journée la plus triste devienne meilleure.      Cherche quelqu'un qui fasse rire ton coeur.


- Rêve que tu désires rêver.
- Vas là où tu souhaites aller.
- Cherche d' être ce que tu désires êtres

Parce que la vie est unique et il n' existe qu' une possibilité de faire les choses que nous voulons faire.

Les chanceux n' ont pas forcément le meilleur du meilleur.  Ils cherchent simplement le meilleur de ce qu' ils rencontrent sur leur chemin.

Le plus beau futur dépendra toujours de la nécessité d' oublier le passé.  Tu ne pourras aller de l' avant dans la vie tant que tu n' auras pas surpassé les erreurs du passé et tout ce qui blesse ton coe ur.

Vis la vie pleinement, vas au bout des choses de façon à toujours sourire malgré les larmes des autres.

Répands ce message aux personnes qui comptent beaucoup pour toi.

...comme je le fais...     ...à ceux qui ont marqué ta vie...    ...à ceux qui t' on fait rire quand tu en avais vraiment besoin...   ...à ceux qui t' ont montré les choses positives et quand tu touchais le fond...   ...à tes amis...   ...à ceux dont tu ne pourrais te passer.

Si tu ne le partages pas...

Tu vas juste perdre l' opportunité d' illuminer la journée d' une personne avec ce message.

La vie ne se compte pas en respirations, mais par les moments qui t' ont coupé le souffle...

(C' est t' y beau!!!)

Prière des aînés

1                                                                  2
Sacré-Coeur de Jésus,                                   Merci pour ma famille
à l' automne de ma vie                                   et pour tous ceux et celles 
je viens te remercier pour                             qui m' ont permis
toutes les grâces reçues!                               d' être moi-même!
3                                                                 4
Accorde-moi la sérénité                                 Bénis tous ceux et celles
dans mes moments de solitude                      qui me sont chers!
et donne-moi d' accepter en toute paix            Ouvre mon coeur à leurs besoins!
tous les caprices
de mon âge et de ma santé!
5                                                                6
Que mon âge et mon expérience                   Donne-moi la grâce d' être un modèle
soient une porte qui s' ouvre                          pour chacun d' entre eux!
sur leur avenir!
                                                                   Amen.   
                                                                 (Les prêtres du Sacré-Coeur)

Être un signe de la tendresse de Dieu

C' est aussi...
- être attentif aux besoins des autres           -  dire merci
- rendre un service gratuitement                 -  souhaiter le bonheur des autres
- visiter un malade                                     -  savoir pleurer avec les autres
- écouter la peine d' un autre                       -  inviter quelqu'un à dîner
- participer à la joie des autres                    - sourire à un étranger
- être ouvert aux autres                              -  dire BONJOUR
- reconnaître les valeurs des autres              - céder ma place
- encourager les efforts des autres

Vivre heureux (ses) … est-ce possible?

Bien oui, c’est possible.  Par le moyen des 5 attitudes de vie:

PRÉSENCE DE DIEU : Penser à Dieu plusieurs fois par jour
ABSENCE DE CRITIQUE DESTRUCTIVE:  Développer envers les personnes, un regard bienveillant
ABSENCE DE PLAINTE INUTILE:  Accueillir positivement les événements
ÊTRE DE SERVICE:  Avoir la préoccupation des autres
ARTISAN ARTISANE DE PAIX: S’appliquer en toutes circonstances à bâtir la paix

Ce qui n’est pas facile à vivre… mais en pratiquant ses attitudes de vie, nous vivrons un peu plus de bonheur, au moment présent.

Ma mission aujourd’hui, c’est d’être là où je suis tout en faisant ce que je peux avec beaucoup d’amour, en servant, en vivant mon moment présent et surtout en m’abandonnant totalement à la volonté de Dieu sur moi.
Pour montrer positivement à quelqu'un de notre entourage qu’il est aimé, rien de mieux que de lui révéler le beau, le bien, le bon et le vrai que son être reflète.  Retracer et nommer ce que Dieu fait en l’autre et dans les événements implique qu’on puisse le faire en soi et qu’on soit attentif à cette présence agissante et efficace de l’Esprit au milieu de nous. 

Suis-je conscient (e) que je suis aimé (e) et choisi (e) par Dieu le Père?  Si “oui” nous accomplirons ce qu’il attends de nous avec plus de facilité.  Dans la bible ça dit quelque chose comme ça: Donne-moi ce que tu portes, et ton fardeau sera plus léger. 

Une cruche fissurée


Chaque matin, un vendeur d' eau se rend à la rivière, y remplit ses deux cruches et part vers la ville distribuer l' eau à ses clients.  Une des cruches, fissurée, perd de l' eau; l' autre, toute neuve, rapporte plus d' argent.
La pauvre cruche fissurée, se sentant inférieure, décide un jour de se confier à son maître: "Tu sais, lui dit-elle, je suis consciente de mes limites.  Tu perds de l' argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville.  Pardonne mes faiblesses."

Le lendemain, en route vers la rivière, le vendeur d' eau interpelle sa cruche fissurée et lui dit: "Regarde le bord de la route." "C' est plein de jolies fleurs!" dit la cruche.  "C' est grâce à toi!" réplique le maître.  "C' est toi qui, chaque matin, arrose le bas-coté de la route.  J' ai acheté un paquet de graines de fleurs et je les ai semées le long de la route.  Toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour."
N'oublions jamais: nous sommes tous un peu fissurés, mais Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.        Tiré de la revue  Selon sa Parole.

Tout me plaît en toi. Signer Dieu

Tu connais la personne que j' aime!
Moi, Dieu, j' aime tous les hommes et toutes les femmes.
Ça se comprend, puisque c' est moi qui les ai faits.
D' ailleurs, je les ai fabriqués à mon goût.
Pourtant, il y a une personne qui m' attire, une qui m' accapare à chaque instant,  une à qui je pense sans cesse, une qui ne semble pas s' en douter...Et cette personne... c' est toi. 
 
Tu dois te demander pourquoi je t' ai choisi?
Je t' aime à cause de tes qualités et de tes défauts.
Je t' aime à cause de tes misères et de tes grandeurs. Je t' aime parce que tout me plaît en toi.
Les hommes et les femmes me ressemblent quand ils aiment.
Quand ils ne pensent qu' à la personne aimée.
Quand ils ne voudraient jamais la quitter.
Quand ils sont prêts à toutes les extravagances pour manifester leur amour.
Moi, Dieu, c' est ainsi que je t' aime.
Tes moindres soucis et tes joies m' intéressent.
Je ne me lasse pas d' entendre parler de toi, de tes projets, de tes désirs...
J' aime te regarder rire et pleurer.
J' aime être avec toi... toujoursVas-tu finir par comprendre que je t' aime comme tu es!
Et que je te demande de m' aimer avec le coeur que je t' ai donné...

Se trouver et devenir ce qu'on est

Pendant mes vacances j' ai lu dans le châtelaine de mai 2008 à la page 74...  Qui suis-je? 
Êtes-vous déjà poser la question en vous regardant dans un miroir : Qui est la femme qui se cache au fond de moi?
As-tu déjà rêvé: être une artiste,  une avocate, mère Teresa... ou même adoré parcourir le monde.  Diriger un grand restaurant.  Cultiver des fleurs; être garde-malade; être professeurs...
"Je voudrais être ainsi" ou 'Je voudrais être ainsi" pour le devenir.  Trop souvent, ces supposés idéaux ne correspondent pas à ce qu' on est. 
Bref, être ce qu' on est pas.  Et si on tentait plutôt de devenir... ce qu' on est?  Personnellement, c' est dans le silence de mon être.  Un arrêt le matin qui m' amène à vivre davantage en contact avec moi-même, aller chercher ce que je désire accomplir aujourd'hui...  La méditation m'aide à me découvrir, à aimer vivre avec moi-même. 
La méditation est un entraînement à l' apaisement de l' esprit.  Même le docteur Béliveau dit au sujet de la médiation : " Elle apporte d' abord le calme, puis la stabilité intérieure. Elle révèle comment les insécurités, par rapport à l' image de soi et à l' argent, par exemple, empêchent de devenir soi-même.  Avec un bon ancrage intérieur, on est plus en mesure d' oser être soi et de prendre des risques." Mais cela reste une technique accessible et dont la profondeur se révèle au fil du temps."

Cinq pistes pour se trouver...

L' épanouissement passe par la découverte de son identité profonde: voilà ce que je suis.
Pour mener à bien l' exploration, plusieurs chemins sont possibles...

Le coaching...   Selon Joanne Riou, directrice du Centre québécois de PNL (programmation neurolinguistique), une école de formation en coaching.  "Il faut l'amener à changer ses croyances erronées et ses comportements néfastes bien ancrés - appris du milieu familiale. "

Il exist un livre : "Le Coaching pour les Nuls".  Ce livre est un bon gros manuel d'autocoaching: un coffre aux trésors rempli de conseils, de pistes, d'exercices, de questions judicieuses.  Tout y est, sauf la perspicacité et le soutien moral du coach en chair et en os. 

Un autre livre: Une année pour moi!  (Les Éditions de l'Homme), de Mélissa Lemieux.  Un agenda destiné aux tête-à-tête avec soi-même.  Objectif: choisir chaque semaine des priorités d'action.

Ressources:  Différentes approches psychothérapeutiques ou consulter la liste des associations professionnelles permettant de trouver un thérapeute, aller à Passeport Santé (www.passeportsante.net), et cliquer sur l'onglet "Approches complémentaires".

La méditation...  et la biodanse...  La biodanse évoque la "danse de la vie".  Objectif : ressentir sa vitalité et expérimenter l'authenticité.   La créativité... nous voulons tous et toutes exprimer le meilleur de nous-même.   Se trouver grâce à 7 activités créatives et sportives.
Visiter  www.chatelaine.com/setrouver

La discipline des athlètes...

Imaginez-vous que le passage que je vais écrire vient du livre de la Bonne Nouvelle (La Bible)
St-Paul, première épitre aux corinthiers...  9, 24-27
"Ne savez-vous pas que les coureurs, dans le stade, courent tous mais qu'un seul gagne le prix"?
Courez donc de manière à le remporter.
Tous les athlètes s'imposent une ascèse rigoureuse; eux, c'est pour une couronne périssable, nous, pour une couronne impérissable.
Moi donc, je cours ainsi: je ne vais pas à l'aveuglette; et je boxe ainsi: je ne frappe pas dans le vide. 
Mais je traite durement mon corps et le tiens assujetti, de peur qu'après avoir proclamé le message aux autres, je ne sois moi-même éliminé. "

L'émerveillement d'une fenêtre ouverte


Fenêtre ouverte août 2008.
 
Vivre l' ouverture nécessaire pour jouir de la vie et de la découvrir chaque instant de notre quotidien.
 
Contempler cette fenêtre ouverte.
Ouvrer votre fenêtre de votre coeur.

Observer les changements dans le moment présent.

Cette fenêtre ouverte permet de laisser entrer dans notre coeur les réponses à tes besoins.
 
Comme l' image le donne si bien, le soleil et la bonne air fraîche du matin, l' odeur des fleurs.  La vie devient plus abordable pour jouir de la vie et de la découvrir à mesure.

L'histoire de la femme qui haïssait le père de sa fillette!

L'histoire de la femme qui haïssait le père de sa fillette!
"Cette année-là, leur petite fille fait partie des cent vingt enfants que je prépare à la première communion.  La mère m'écoute parler du pardon.  Vous connaissez ma citation favorite:  "Si tu veux être heureux cinq secondes, venge-toi.  Si tu veux être heureux toujours pardonne." C'est un conseil tout simple, mais ceux qui l'entendent s'en souviennent.
Le jour de la cérémonie, la mère est dans l'église parmi les premiers rangs, derrière sa fillette.
Le père est quelque part dans la foule.  Sidéré, il voit sa femme quitter son banc et venir à lui.
Elle lui dit:  -Si tu veux, viens à la maison tout à l'heure, on partagera le gâteau que j'ai fait pour ta fille...
Des années de haine qui s'évanouissaient, parce que cette femme avait fini par faire le pari du coeur, grâce à l'enfant et à Dieu!  (C'est le miracle du "premier pas", dont j'ai fait souvent l'expérience: je vous en reparlerai.)1 voir au chapître 12. 
    
Cette histoire vient du livre : Le pari du coeur de Robert Jolicoeur à la page 136. 

Pensées vivifiantes

Nourrissez des pensées axées sur le bonheur et soyez heureux.  Le bonheur est un état d'âme. 
Appuyez fermement sur la touche bonheur peu importe ce qui se passe autour de vous.  
Filtrez soigneusement les pensées qui pénètrent dans le jardin de votre esprit.
Sur la grande horloge du temps, il n'y a qu'un mot: "Maintenant".
Ce qui est passé a fui, ce que tu espères est absent, mais le présent est à toi.
En changeant son mental et son attitude intérieure, l'être humain peut transformer tous les domaines de sa vie.  (Zoom sur l'intelligence émotionnelle)
Aimer plutôt que d'avoir raison...

Fin de semaine de Réflexion et de Fraternité - juin 2008


En juin, l'équipe "Semeurs d'Espérance" de Gatineau s'est donné un moment de ressourcement dans un lieu de paix, dans la nature, près d'un lac avec un long chemin pour la marche.  Ce temps nous a permis des moments forts d'étude, d'observation, de marche et de fraternité.
 
Chacune a participé pleinement à rendre cette fin de semaine agréable et fructueuse dans une très grande connivence.
 
Le thème était: "Qui je suis fait toute la différence!"  Cette rencontre nous a permis de compléter l'étude de l'année faite sur notre mission de Volontaires.  Nous avons pris conscience que, dans notre siècle où les tâches et obligations se bousculent pour occuper toute la scène de notre quotidien... les cinq points nous fortifient grâce à leur grande sagesse d'Évangile.  Nous avons fait l'expérience qu'en plus de la sagesse, ils dégagent une liberté, un équilibre qui comme une douceur pacifique éclaire et qui s'infiltre dans tout l'être pour mettre en relief aussi bien ses richesses que ses fragilités, ses forces que ses faiblesses. 
"Ce que je suis" me demande de développer mon être pour vivre en communion avec les personnes que je croise ou côtoie... et ça fait toute une différence. 
 
Ex.:  Lorsqu'une personne stressée par ses responsabilités ou par son travail m'approche... quel est mon accueil?  Je suis offusquée parce qu'elle ne me voit pas ou ne me salue pas, je pense que cette personne me reproche quelque chose... au lieu de reconnaître son stress et essayer d'atténuer la pression que cette personne a en elle.  Et si je lui posais la question - Qu'est qui te préoccupe?  Puis-je te rendre service? Ou si je faisais juste l'écouter attentivement avec amour... ça changerait peut-être l'événement et... ça ferait toute la différence.  C'est extrêmement important de s'intéresser à celui ou celle qui fait éruption dans notre vie comme un volcan trop plein.
 
Nous en sommes venues à dire qu'avoir la présence de Dieu dans nos vies fait toute la différence.  Le Père Parent nous dit dans son livre "Intimité avec Dieu": "Quand tu auras compris, quand tu auras cru que Dieu est en toi, qu'il vit en toi la volonté du père, tu ne parleras plus de solitude, d'isolement (...) je suis en toi, prends-en conscience, ta vie deviendra la mienne et tu verras que tout ce qui est à moi est à toi. (cf. Jn 17.10)" Un bel exemple: le film: "Le violon sur le toi"et en anglais "Fidler on the roof".
 
Cela nous a fait comprendre que chaque moment passé en présence de Dieu, fait que ces moments deviennent des moments magiques pour notre bien-être (être bien dans notre quotidien pour réaliser notre mission).
 
Nous avons aussi réfléchi sur "La guérison par le plaisir", par Yvon St-Arnault.  Le chapitre 4 page 572 "Le plaisir, le rire et la vie spirituelle" pour réaliser que les spécialistes ont reconnu l'influence de la prière sur l'état de la guérison.
 
Nous avons également consulté les brochures du Père Parent sur les 5 points à partir du Notre Père "Cahier d'animation des Volontaires de Dieu de Février 2004" et "Comment s'unifier?".
 
Dans "Comment s'unifier?" nous avons découvert l'importance de chercher du positif dans la nature; également à chercher en soi-même et de surveiller la qualité de ses pensées.  L'équipe a découvert que la nature a du positif.  Elle nous parle à sa façon.  Elle peut même répondre à nos questions face à des décisions à prendre. 
 
C'est l'étude du Notre Père des Volontaires qui a retenu le plus notre attention.  Nous avons conclu que c'est par mon agir que l'on obtient ce que l'on demande.  Et avec ce Notre Père on ne dit plus le Notre Père comme avant.
 
En complémentarité, Joan avait fait une recherche sur la nature dans la bible et nous a partagé ses recherches.
 
Maintenant, je dois mettre en pratique ce qui nous a fait vibré et devenir de plus en plus ce que je suis pour faire toute la différence à mes contacts.